Tous les articles par Thomas Bondois

Symfony versus Symphony, deux frameworks PHP homophones : plagiat ou concours de circonstance ?

Je suis tombé par hasard sur quelque chose plutôt étrange : Symphony, a « XSLT-powered open source content management system ». C’est aussi un framework PHP, qu’on pourrait donc positionner comme un concurrent au projet Symfony CMF.

getsymphony.com

Encore plus troublant, cette annnonce sur la page d’accueil de leur site  :

 Symphony 2.6 is now available  –  11 March 2015

Comme par hasard, le framework homophone suit exactement le même numéro de version que Symfony, à un mois d’intervalle…

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Revue litté : Les loups des Etoiles, Edmond Hamilton

Etant un ancien fan de Star Wars (si tu veux savoir pourquoi ce n’est plus le cas, je l’explique ici), j’ai toujours adoré le space-opéra. Ca fait partie des deux genres que je lis le plus, avec le fantastique.

Seulement, voilà, pour moi la bonne SF (dont le space-opera en est un sous-genre), c’était avant. Le genre s’est mal renouvellé, et beaucoup préfèrent encore la SF des années 50-70 que celle actuelle, qui a du mal à être originale. Quant aux histoires de pirates de l’espace au bon cœur, de fils de fermiers s’envolant vers les étoiles ou de pilotes stellaires intrépides (le space-opera, donc), elles sont en voie d’extinction, et le succès de Star Wars n’y est pas étranger.

J’ai lu récemment la trilogie « Les Loups des Etoiles », éditée en un seul volume de poche chez Folio. Ca serait un des premiers romans de space-opera jamais écrit. Bien avant qu’existe Star Wars. L’auteur avait entre 62-63 ans quand cela a été publié, bien après le reste de son oeuvre.

Et j’ai pas été déçu !

Quatrième de couverture

Morgan Chane est le seul Loup des étoiles d’origine terrienne, un pirate, un assassin doté d’une force physique et de réflexes hors du commun. Après avoir tué un de ses pairs, il se voit obligé de fuir pour sauver sa vie… Mais où peut se réfugier un homme pourchassé par les Loups des étoiles et qui, aux yeux de tous, restera à jamais l’un des leurs ? Désormais sa route est tracée. Morgan Chane, l’homme qui ne voulait pas mourir, partira à la recherche de l’arme de nulle part, affrontera les dangers des mondes interdits et retournera sur la planète des Loups… Le cycle des Loups des étoiles, rythmé par le fracas d’immenses batailles spatiales, nous propulse à travers une myriade de planètes dangereuses, au contact d’incroyables races extraterrestres et de secrets astronomiques vieux de millions d’années.

Mon avis

L’écriture

Le premier des trois romans a été écrits en 1967, mais il n’a pas pris une ride ! En fait,on ne soupçonnerait pas lire un des doyens du space-opera. La traduction est plaisante (même si on se surprend a remarque quelques fautes de frappes), et les concepts technologiques développées dans le livre ne sont aucunement vieillot. Le style d’écriture est concis, Bref, c’est aussi agréable à lire qu’un roman de cette décennie. Les œuvres de space-opéra  sont décidément intemporelles.

L’histoire

Le space-opéra, c’est du grand spectacle. Un roman d’aventure dans les étoiles. On débranche (un peu) son cerveau, et on se laisse happer par cette nouvelle galaxie, les combats grandioses et les répliques cinglantes d’un anti-héro bourrin qui se sort de toutes les situations impossibles inimaginables. Et ce sens, la structure scénaristique est somme toute assez classique, celle du Voyage du Héros, comme dans Star Wars ou à peu près tous les romans pour ado, ou tout les blockbusters Hollywoodien. Mais il ne faut pas oublier que ce livre a été écrit avant tout ça.

Cela dit, les histoires (il y en a 3) sont plaisantes et bourrées de bonnes idées, surtout concernant les super-armes ou les habitants de chaque planète. Les dénouements sont à chaque fois inattendus. Très peu de longueurs ou de passages ennuyeux, et au final j’ai dévoré la trilogie en pas une semaine. Le personnage principal à une personnalité très intéressante, mais assez stéréotypée et pas assez étoffée pour qu’on puisse arriver à s’identifier à lui. La plupart des personnages secondaires sont aussi très charismatiques.

Un point intéressant  : Quasiment pas d’histoires d’amour ni de romances, sur l’ensemble des trois livres. Tu me diras, c’est plutôt cohérent, vu le contexte (mercenaires, missions toussa), mais quand on y regarde bien, l’histoire d’amour / la présence féminine est maintenant dans tous les cahiers des charges pour des raisons purement marketing, même si souvent ça n’apporte rien à l’oeuvre, voir le dessert (cf les adapations cinématographiques du Seigneur des Anneaux ou du Hobbit).

On fait le Bilan, calmement en s’remémorant chaque instant (Parler des histoires d’avant comme si on avait 50 ans)

Du tout bon. Une trilogie à la fois fondatrice et intemporelle, qui se lit très vite. Je voulais en parler juste ce qu’il faut pour titiller ta curiosité et te donner envie de le lire. L’intérêt principal du space-opera, c’est la découverte d’un nouvel univers, alors pourquoi t’enlever ça ?

Bonus : cette musique m’est venue dans la tête en écrivant le dernier titre, alors je vais partager ça avec toi, ya pas de raisons.

Si par le plus grand des hasard tu as toi aussi lu ce livre, partage tes impressions ! Du roman hein, pas des Neg Marrons.

8 outils gratuits pour faire du Scrum dans tous les sens

Je faisais des recherches (et des tests) il y a quelques temps des outils gratuits permettant de gérer des projets avec Scrum . Pour gérer un mix scrum/kanban/scrumban, c’est déja moins évident. Mais pour scrum, il y a pas mal de soft gratuits, la plupart en ligne et limités sur un nombre de personnes ou projets. Je ne parlerais pas par contre des outils qui ne sont gratuit uniquement pour une une période d’essai, comme sprint.ly, Jira ou Mingle.

IceScrum

Site officiel : http://www.icescrum.org/
Opensource : Oui
Accès : à installer soi-même (serveur tomcat/Java) ou version améliorée online payante

Voir mon tuto pour installer la version opensource sur un serveur web. Existe également des version Pro (plus de fonctionnalités) et online payante.

Agilefant

Site officiel : http://agilefant.com/
Opensource : Non
Accès : à installer soi-même (serveur tomcat/JRE/Oracle) et online limité

Version online gratuite limité a 5 comptes actifs simultanément. Mais on peut en créer d’autres et les désactiver temporairement. C’est le manager Scrum open-source le plus populaire. Pourtant pas de whiteboard, à ma connaissance (ou je ne l’ai pas trouvé).

TargetProcess

Site officiel : targetprocess.com
Opensource : Non
Accès : online limité

Version online gratuite limitée à quelques comptes. Très complexe et complet. Heureusement un guide interactif nous explique comment l’utiliser.

Youtrack

Site officiel : https://www.jetbrains.com/youtrack/
Opensource : Non
Accès : online ou à installer soi-même sur un serveur / un poste client Windows

Jetbrains, ca vous dit quelque chose ? L’éditeur de l’excellent IDE PHPStrom, entre autres. Ils ont plein d’autres produits pro dont un gestionnaire de projet est online, avec une version gratuite limitée à 10 comptes. Pas de whiteboard, l’accent est + mis sur l’issue tracking, et exploite assez peu le cadre Agile en fait.

Redmine + plugins

Beaucoup de plugins agiles pour redmine, certains totalement gratuits, d’autres seulement en mode limités
Redmine Backlogs
Scrum
Kanban
Easy Agile
Scrumbler

Accès : A installer soi-même sur un serveur Ruby

Redmine s’est beaucoup popularisé ces derniers temps. Basé sur Ruby on Rails (et donc nécéssitant un serveur web avec Ruby), ca peut valoir le coup pour faire un passage à Scrum en douceur.

Kados

Site officiel : http://www.kados.info/
Opensource : Oui
Accès : à installer soi-même sur un serveur

Un gestionnaire de projet Scrum/Kanban. Gratuit, opensource, en PHP donc facile a déployer sur un serveur.  Le code source fait un peu usine à gaz par contre. Des efforts à faire sur l’ergonomie, mais une bonne initiative française.

Kanboard

Site officiel : http://kanboard.net/
Opensource : Oui
Accès : A installer sur un serveur

Une appli PHP basée sur Kanban et la simplicité d’utilisation. Vraiment sympa, dommage que les spécificités de Scrum (notion de sprint, dates butoirs) ne soient pas gérées.

Express

Site officiel : http://agileexpress.sourceforge.net/
Opensource : Oui
Accès : A installer soi-même sur un serveur

une appli en servlet Java. Très rudimentaire avec une gestion d’utilisateurs. Bien être bien pratique pour des petits projets.

Juste besoin d’un scrumboard visuel tout simple ?

scrumblr.ca

Site officiel : http://scrumblr.ca
Opensource : Non
Accès : online

Juste un scrumboard collaboratif en ligne. Minimaliste mais parfait pour travailler à distance avec des gens de confiance (aucun gestion de droits ou d’historique).

Bonus : comment comparer rapidement des gestionnaires de projets

… Parmi + de 200 existants. La seule chose qui manque ca serait de pouvoir filtrer sur uniquement les gestionnaires Scrum.

http://project-management.zone/systems

Cela dit pour avoir le détail sur les fonctionnalités des applications, et les comparer rapidement entre elles, c’est pratique. Exemple :

http://project-management.zone/system/agilefant,icescrum on voit que sur les fonctionnalités, iceScrum à l’avantage sur Agilefant, excepté qu’il n’a pas de time tracker.

De rien.

C’est né il y a 30 ans

Pour le fun, un petit récap (non exhaustif) de choses qui sont nées en 1984, il y a 30 ans :

En France

Canal +
Massilia Sound System
Hôtel F1
Microïds
Camaïeu
Nocibé
Radio France Orléan
Centres chorégraphiques nationaux
Alizée (…)
(Moi)

Au Japon

Dragon Ball (manga)
Nausicaä de la Vallée du Vent
Bioman
Gigi
Hokuto no Ken / Ken le Survivant
Akira
Jeanne et Serge
Mon Petit Poney (!)

Aux US

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Tuto : Mieux que Baldur’s Gate Enhanced Edition : l’édition originale avec quelques mods

La tendance des remakes « Enhanced » ou « HD », cette arnaque

Bon nombre de jeux, tel que Baldur’s Gate, Age of Empire/Mythology, Heroes III, maintenant Icewind Dale, se sont fait lifter ces dernières années et sont revendus à prix élevés.

Le problème, c’est qu’ils ne rajoutent pas grand chose (à part le support des résolutions actuels), et dans le cas de Baldurs’ Gate Enhanced Edition, ils enlèvent même plutôt du contenu. Et ne sont pas compatibles avec les mods.

J’avais acheté il y a déja quelques années le boitier « Hits Collection » regroupant les 2 jeux + les 2 extensions. Problème, la résolution maxi était de 800×600…. Après qulques recherches, j’avais trouvé quelques mods qui dépoussirant totalement cette fabuleuse série, et publié un tuto sur un site. Ce site n’existe plus, mais j’ai retrouvé mon tuto, qui reste d’actualité !

Attention, C’est assez fastidieux à installer, les setups sont à moitié bugés, et ensuite il faut installer certains patch etc.

Pour éviter à d’autres une telle galère quête épique, surtout si ils ne sont pas informaticiens dans l’âme (mais que font-ils sur mon site ?), voici un tuto permettant de rejouer au 1 et 2 dans les meilleurs conditions (avec la résolution de votre écran, pour commencer).

Prérequis

Le coffret « Baldur’s Gate 4 in  1 boxset » de Mindscape/Atari en version européenne  (en vente ici sur Amazon par exemple), contenant 4 disques. Si vous avez une autre édition, ça devrait fonctionner aussi, c’est jusque que j’ai pu tester. D’ailleurs cette édition a le gros défaut d’avoir un peu de contenu en anglais… et des bugs de localisation que je contourne dans ce tuto.

baldur

L’autre alternative est de télécharger la version dématérialisée sur GOG en 2 partie : BG1+addon et BD2+addon. Mais cette édition n’existait pas encore à l’époque ou  j’ai rédigé cet article.

Ce tuto en 7 étapes t’aidera a installer les 2 jeux avec leurs extensions ainsi que les patchs recommandés, et 3 mods qui ne dénaturent pas le jeu, mais améliorent grandement la couche graphique et le coté social des compagnons :

  1. BGT (Baldur’s Gate Trilogy),
  2. Widescreen
  3. BG1 NPC Project

Ensuite libre à toi de rajouter d’en installer d’autres, mais disons qu’avec ça, tu aura une bonne base.

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Anticiper la migration entre Symfony 2 et 3 en activant la nouvelle structure de répertoires

Symfony, le framework PHP made in France a le vent en poupe et amène dans son sillage le PHP à l’ère industrielle (bon, c’est vrai que Zend l’avait déja aidé à traverser). Sa version 2.6 est sortie depuis quelques semaines mais papa Sensiolabs a semble-t-il déjà bien entamé le travail sur la version 3…

Il y a toutes les chances que les projets v2 soient migrables assez facilement sur v3, mais que la structure des répertoires systèmes changent un peu, car pour l’instant ça reste assez mal structuré : par exemple il y a un peu trop tout et n’importe quoi dans /app/, du cache, des logs, la console, et l’emplacement des fichiers de config globaux ne suit pas la norme des bundles.

Lors d’une release  de Symfony 2.4 ou 2.5, l’assistant vous demandait si vous vouliez utiliser la « nouvelle structure de répertoire v3 » lors de la création d’un nouveau projet. Ça changeait pas mal de choses sur la structure, sans toutefois être documenté ; c’est sûrement pour ne pas embrouiller les esprits que Sensiolabs a vite retiré cette option. C’est dommage, car c’est la structure prévue pour le futur de Symfony.

Mais pourtant tu peux continuer à utiliser cette option en définissant la variable d’environnement SENSIOLABS_ENABLE_NEW_DIRECTORY_STRUCTURE=true avant de lancer l’assistant de création de projet.

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Diagramme de process Scrum / Scrumban

Il y a quelque temps j’avais réalisé une plaquette pour expliquer dans les grandes lignes un process Scrumban à l’équipe et au client.

Scrumban est un mot-valise désignant une combinaison de Scrum et Kanban, souvent utilisée pour étendre Scrum jusqu’à la mise en production, limiter le nombre de tâches à chaque étape, gérer les projets de maintenance ou travailler avec des équipes de développeurs non-multidisciplinaire. Tu devrais trouver pas mal d’info sur internet à propos de cette combinaison de deux méthodologies très complémentaires, Agile et Lean.

Comme chacun fait son Scrumban à sa sauce en piochant ce qu’il veut entre Scrum et Kanban, la terminologie Scrumban veut finalement tout et rien dire : j’ai donc appelé ma version Scrumbow, en rapport au code couleur défini à chaque étape et qui forme un arc-en-ciel (rainbow) et à la flexibilité de la méthode (bow, arc). Et puis les arc-en-ciel, c’est très tendance en ce moment, symbole bien sûr des LGTTB mais aussi des geeks adorateurs de Mon Petit Poney et nyancat.

Voir le tableau

Tuto : Installation d’IceScrum R6#13.3 sur un serveur Linux

IceScrum est un gestionnaire de projet suivant le cadre de travail Scrum (voir mon tableau explicatif des process Scrum), qui commence à se démarquer un peu du lot.

C’est un projet Open-Source, et son modèle économique est basé sur une version hébergée chez l’éditeur (gratuite pour 1 seul projet avec 1 seul utilisateur, sinon c’est entre 9,90 et 199 € par mois) et une version Pro à télécharger. Qui elle rajoute des features pratiques mais non indispensables : création d’users à la volée, gestion de ratio de disponibilité jour-par-jour pour chaque user…
Mais son prix (2000 € par an !) le destine aux grandes entreprises.

Heureusement pour les start-ups et les particuliers, ils fournissent un setup permettant d’installer la version de base sur son poste ou un serveur. Seulement voilà, ils ont bien compris que c’est pas vraiment dans leur intérêts de faciliter la tâche aux gens qui n’ont pas beaucoup de connaissances en administration système pour l’installer sur leurs petits serveurs dédiés. Et comme l’application est en Java, c’est assez compliqué sans documentation digne de ce nom. Et justement tiens, leur doc est pas claire du tout en plus d’être très  incomplète, et leur support sur les forums tourne au minimum. Comme par hasard 🙂

Pour ne rien arranger, à chaque release majeure, la manière de l’installer semble différer. De même qu’on peut l’installer de plein de façons différentes…. J’ai passé des heures à chercher sur internet des guides d’installation sur des blogs, faite par des gens qui se sont contenté de prendre des morceaux un peu partout sans vraiment comprendre ce qu’ils faisaient.

Et je n’ai pas réussi à faire fonctionner une seule de ces méthodes. J’ai donc tâtonné, fais beaucoup d’essais, et te livre ici mon guide d’installation d’iceScrum realease R6. Qui fonctionne ! (dans mon cas, hein. Mais je vois pas pourquoi ca le ferais pas pour vous, si vous avez un environment système standard)

Je reparlerais – je l’espère – d’IceScrum et quelques un de ces concurrents dans un prochain article. J’envisage aussi de parler de Scrum, Kanban et autres méthodes Agiles si j’en ai le temps !

Voir le tuto

L’histoire de Thomas Bruso / Epic Beard Man, à l’origine du film Bad Ass : un vrai Captain America

Attention, une certaine aisance avec l’anglais américain vous sera nécéssaire pour suivre. Et pas mal de temps pour visionner des vidéos…

Tu connais peut-être Bad Ass, un film complètement WTF avec le légendaire Danny Trejo  ? Voici la bande annonce :

Mais connais-tu la vidéo virale (6 millions de vue) de 2010 qui a inspiré ce film ? La voici :

La scène est géniale, ca aurait été un truc préparé ca n’aurait pas pu être mieux. Avec l’inscription « I AM A MOTHERFUCKER » dans son dos quand il sort du bus… Le buzz est immédiat, l’homme de 67-68 ans est aussitôt surnommé Epic Beard Man.  Son identité est vite retrouvée, il s’agit de Thomas Bruso, appelé par les habitants du quartier « Vietnam Tom », ou « Tom Slick » (rusé). Un vétéran donc. C’est de cet autre Thomas que je vais parler dans cet article, car même si tu as du en entendre parler, tu ne connais sûrement pas tout.

Pour commencer, la suite de qui s’est passé après qu’ils soient sortis du bus, bien moins connue :

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Star Wars, destruction programmée par Disney

Avant, j’étais fan de Star Wars. Des films, mais aussi des histoires dérivées : entre le collège et le lycée j’ai ainsi lu une soixantaine de romans continuant la saga dans les étoiles, tout en faisant mon premier site web dédié à Star Wars. Et une fanfiction. Puis vinrent les jeux vidéo, puis beaucoup plus tard, des comics de qualité comme Republic, Clone Wars ou Legacy.

Mais ca c’était avant. Car maintenant, Star Wars est devenu un produit marketing dénué de sens. La faute à la cupidité de George Lucas, ou plutôt sa saturation envers son œuvre. Je m’explique.

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